Rédaction web : comment préparer son contenu pour la traduction ?

Votre entreprise ouvre de plus en plus de filiales à l’étranger ? Vous allez donc devoir traduire et adapter votre contenu au public étranger. La démarche de localisation linguistique peut apparaître comme une épreuve difficile à surmonter. Mais ne vous inquiétez pas, un peu d’organisation et d’adaptation suffisent.

Un tri s’impose !

Votre blog est entièrement en français ? Vous devez opérer un tri pour sélectionner les articles les plus pertinents pour la traduction. En effet, rien ne sert de vouloir tout traduire, surtout si vous avez rédigé des centaines d’articles !

Utilisez Google Analytics pour connaître les contenus qui ont suscité le plus d’intérêt et opérez votre première sélection.

Une autre astuce ? Écartez d’office les articles portant sur des problématiques ou des événements dont plus personne ne parle, ou uniquement valables en France.

Parmi les contenus restants, privilégiez ceux qui apportent une valeur ajoutée à vos lecteurs. Il s’agit souvent d’articles de conseils, qui orientent vos prospects dans leur prise de décision. Pensez aussi aux articles et autres formats destinés à valoriser votre expertise. Il est important d’arriver sur un nouveau marché avec une image d’expert dans son secteur d’activité.

À cet effet, n’oubliez pas d’évaluer le potentiel de traduction de vos livres blancs, témoignages client, infographies, etc.

Une adaptation des contenus est essentielle

Lorsque vous avez identifié les articles à traduire, vous allez devoir leur apporter quelques modifications linguistiques. À l’origine, vos articles, pour être accrocheurs, contiennent certainement des expressions idiomatiques spécifiques, quelques mots d’argot et une terminologie métier. Sauf que vous ne vous adressez pas à un français, comme à un anglais, un américain ou un chinois.